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"Humanity already possess the fundamental scientific, technical, and industrial know-how to solve the carbon and climate problems..."
Stephen Pacala and Robert Socolow

jeudi 19 septembre 2013

La grippe aviaire dans la viande de volaille : Alerte 2013 FAO pour une nouvelle saison

On se rappelle les dégâts et le trouble causé par l’épidémie de la grippe aviaire dans nos sociétés ces dernières années.  Moi je me souviens bien de ce qui c’était passé dans mon pays (Burkina Faso) en

mercredi 18 septembre 2013

Les sachets plastiques et notre vie

Nous assistons ces dix dernières années dans le monde, à des vagues de tractations houleuses entre gouvernements, industriels et consommateurs sur l’éradication des sachets ou sacs plastiques de notre environnement. Parmi la quinzaine de pays

lundi 16 septembre 2013

Ne confondons pas date limite de consommation (DLC) et date limite d'utilisation optimale (DLUO)

J’avais annoncé dans mon article précédent que je ferai un article sur ces mentions DLC et DLUO sur les aliments ; et bien voici, chose promise chose due !
La FAO à bien trouvé que la confusion entre la DLC et la DLUO est facteur contribuant au gaspillage alimentaire ; je vais vous expliquer comment cela se produit.
D’abord il faut savoir que

jeudi 12 septembre 2013

Le gaspillage alimentaire est nuisible à notre santé

Les expressions « gaspillage alimentaire » ou « aliments gaspillés » sont d’utilisation récurrente depuis maintenant quelques années, par les organismes en charge de la protection de l’environnement et de l’alimentation, tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO)  et

lundi 9 septembre 2013

La journée internationale de l’alphabétisation

La journée internationale de l’alphabétisation est célébrée le 08 septembre de chaque année. Le thème de cette année est : « alphabétisation pour le 21è siècle »
Il est très bien de célébrer l’alphabétisation ; elle est la clé du développement car elle

vendredi 6 septembre 2013

L’argent ne peut aucunement vous acheter la santé comme il vous achète l’amour

Je sais que le débat est historique sur la question « l’argent fait-il le bonheur ? » A mon avis, basé sur quelques faits observables, l’argent ne peut pas faire le bonheur. A ce titre, je voudrais que l’on ne confonde pas le bonheur à quelques plaisirs et éphémères et l’amour que nos moyens financiers et matériels nous permettent de nous offrir à volonté. Ce bonheur éphémère est vite perturbable par le moindre problème de santé, encore plus par la mort malgré nos moyens. Ceci, à dire que la santé ne s’achète pas ou n’a pas de prix. Quand il n’y a pas la santé rien ne va. Nous savons bien, combien sont ces personnes aussi richissimes, devant l’incapacité de leurs bien, vivent avec des maladies chroniques ou en attente de transplantation d’organes ; ce fait me fait souvent rire quand j’y pense.  Ceci n’est qu’à un niveau individuel.
On peut remarquer aujourd’hui de nombreux pays parmi les plus riches, mais dont les problèmes de santé sont sans solutions. Le cas du Quatar est un exemple palpable ; ce pays est le plus riche au monde, le revenu par habitant y est le plus élevé au monde, mais il a également  aujourd’hui, les taux de diabète et d’obésité très élevés. En effet, 17 % de la population au Quatar souffrent de diabète contre 8,3% aux Etats-Unis. L’obésité y est aussi de loin plus fréquente qu’aux Etats-Unis considérés comme le centre de la pandémie de l’obésité. C’est vrai que des facteurs génétiques jouent dans la survenue de ces maladies, mais nos comportements ont aussi un rôle très important. Dans le cas du Quatar, il est démontré que les facteurs génétiques ne peuvent changer naturellement en si peu de temps, car la situation n’était pas ainsi il y a dix (10) ou vingt (20) ans. Il faut alors incriminer  les changements dans l’environnement et dans la culture alimentaire et le comportement physique. C’est un paradoxe d’être si riche et encore trimbaler beaucoup de maladies
La question que je me pose et à tous est : pourquoi n’avons-nous pas la sagesse de penser à notre santé quand bien même nous en avons tous les moyens ? Peut-être que nous sommes aveugler par notre envie de protéger nos biens matériels et financiers, notre richesse, c’est bien, mais nous ne nous rendons- pas compte que la santé quand nous l’avons, est notre plus grande richesse. C’est elle que nous devrions préserver par nos efforts quotidiens ; on ne se rend compte de sa valeur qu’une fois que nous l’avons perdue.
La santé ne se cherche pas, elle se préserve ; n’attendons pas de la perdre pour ensuite la chercher. Elle se préserve par nos comportements. Alors, n’hésitons pas à aller consulter des personnes ressources pour savoir comment mieux se comporter afin de préserver notre santé !

Par Julien DEMBELE, Msc. Toxicologie Environnementale, Technologie Alimentaire et Nutrition