On
se rappelle les dégâts et le trouble causé par l’épidémie de la grippe aviaire
dans nos sociétés ces dernières années. Moi je me souviens bien de ce qui c’était
passé dans mon pays (Burkina Faso) en
Soyez la bienvenue sur le blog de Julien DEMBELE
Are you ready to change the way you live?
jeudi 19 septembre 2013
mercredi 18 septembre 2013
Les sachets plastiques et notre vie
Nous assistons ces dix dernières
années dans le monde, à des vagues de tractations houleuses entre gouvernements,
industriels et consommateurs sur l’éradication des sachets ou sacs plastiques
de notre environnement. Parmi la quinzaine de pays
lundi 16 septembre 2013
Ne confondons pas date limite de consommation (DLC) et date limite d'utilisation optimale (DLUO)
J’avais
annoncé dans mon article précédent que je ferai un article sur ces mentions DLC
et DLUO sur les aliments ; et bien voici, chose promise chose due !
La FAO à bien
trouvé que la confusion entre la DLC et la DLUO est facteur contribuant au
gaspillage alimentaire ; je vais vous expliquer comment cela se produit.
D’abord il
faut savoir que
jeudi 12 septembre 2013
Le gaspillage alimentaire est nuisible à notre santé
Les
expressions « gaspillage alimentaire » ou « aliments
gaspillés » sont d’utilisation récurrente depuis maintenant quelques
années, par les organismes en charge de la protection de l’environnement et de
l’alimentation, tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation
et l’Agriculture (FAO) et
lundi 9 septembre 2013
La journée internationale de l’alphabétisation
La journée internationale de
l’alphabétisation est célébrée le 08 septembre de chaque année. Le thème de
cette année est : « alphabétisation pour le 21è siècle »
Il est très bien de célébrer
l’alphabétisation ; elle est la clé du développement car elle
vendredi 6 septembre 2013
L’argent ne peut aucunement vous acheter la santé comme il vous achète l’amour
Je sais que le
débat est historique sur la question « l’argent fait-il le bonheur ? »
A mon avis, basé sur quelques faits observables, l’argent ne peut pas faire le
bonheur. A ce titre, je voudrais que l’on ne confonde pas le bonheur à quelques
plaisirs et éphémères et l’amour que nos moyens financiers et matériels nous
permettent de nous offrir à volonté. Ce bonheur éphémère est vite perturbable
par le moindre problème de santé, encore plus par la mort malgré nos moyens. Ceci,
à dire que la santé ne s’achète pas ou n’a pas de prix. Quand il n’y a pas la
santé rien ne va. Nous savons bien, combien sont ces personnes aussi richissimes,
devant l’incapacité de leurs bien, vivent avec des maladies chroniques ou en
attente de transplantation d’organes ; ce fait me fait souvent rire quand
j’y pense. Ceci n’est qu’à un niveau
individuel.
On peut
remarquer aujourd’hui de nombreux pays parmi les plus riches, mais dont les
problèmes de santé sont sans solutions. Le cas du Quatar est un exemple
palpable ; ce pays est le plus riche au monde, le revenu par habitant y est
le plus élevé au monde, mais il a également
aujourd’hui, les taux de diabète et d’obésité très élevés. En effet, 17 % de la population au Quatar souffrent de diabète contre 8,3% aux
Etats-Unis. L’obésité y est aussi de loin plus fréquente qu’aux Etats-Unis
considérés comme le centre de la pandémie de l’obésité. C’est vrai que des
facteurs génétiques jouent dans la survenue de ces maladies, mais nos
comportements ont aussi un rôle très important. Dans le cas du Quatar, il est
démontré que les facteurs génétiques ne peuvent changer naturellement en si peu
de temps, car la situation n’était pas ainsi il y a dix (10) ou vingt (20) ans.
Il faut alors incriminer les changements
dans l’environnement et dans la culture alimentaire et le comportement physique.
C’est un paradoxe d’être si riche et encore trimbaler beaucoup de maladies
La question
que je me pose et à tous est : pourquoi n’avons-nous pas la sagesse de
penser à notre santé quand bien même nous en avons tous les moyens ? Peut-être
que nous sommes aveugler par notre envie de protéger nos biens matériels et
financiers, notre richesse, c’est bien, mais nous ne nous rendons- pas compte
que la santé quand nous l’avons, est notre plus grande richesse. C’est elle que
nous devrions préserver par nos efforts quotidiens ; on ne se rend compte de
sa valeur qu’une fois que nous l’avons perdue.
La santé ne se
cherche pas, elle se préserve ; n’attendons pas de la perdre pour ensuite
la chercher. Elle se préserve par nos comportements. Alors, n’hésitons pas à
aller consulter des personnes ressources pour savoir comment mieux se comporter
afin de préserver notre santé !
Par Julien DEMBELE, Msc.
Toxicologie Environnementale, Technologie Alimentaire et Nutrition
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