Si les festivités de
fin d’année sont l’un des moments les plus importants et émouvants de l’année,
elles peuvent aussi constituées des moments désagréables quant au dénouement,
au pire elles peuvent nous confronter à
Soyez la bienvenue sur le blog de Julien DEMBELE
Are you ready to change the way you live?
mardi 31 décembre 2013
mardi 19 novembre 2013
mercredi 9 octobre 2013
Quand la fiabilité des rapports des experts des institutions de l’ONU est sujette à des doutes
L’ONU
(Organisation des Nations Unies) est la grande institution démocratique qui
existe au monde, agissant dans l’impartialité même si l’on sait que le social a
un poids important dans les décisions qui émanent d’elle. La crédibilité de
cette institution est entrain de s’effriter à découvert ces dernier temps, au vue des
mardi 8 octobre 2013
Julien bientôt sur mondoblog.fr de rfi
C'est avec immense plaisir que je vous annonce ma sélection au concours mondoblog de rfi 2013 ! Vous pourrez lire bientôt mes articles sur mon site mondoblog.fr !
vendredi 4 octobre 2013
Affaire "Boissons énergisantes" ou "energy drink"
Les
boissons énergisantes ont longtemps suscité de l’interrogation quant à l’inoffensivité
de leur constituant sur la santé. Le problème refait plus surface avec les
récents évènements en France où ces boissons seraient à l’origine de
jeudi 19 septembre 2013
La grippe aviaire dans la viande de volaille : Alerte 2013 FAO pour une nouvelle saison
On
se rappelle les dégâts et le trouble causé par l’épidémie de la grippe aviaire
dans nos sociétés ces dernières années. Moi je me souviens bien de ce qui c’était
passé dans mon pays (Burkina Faso) en
mercredi 18 septembre 2013
Les sachets plastiques et notre vie
Nous assistons ces dix dernières
années dans le monde, à des vagues de tractations houleuses entre gouvernements,
industriels et consommateurs sur l’éradication des sachets ou sacs plastiques
de notre environnement. Parmi la quinzaine de pays
lundi 16 septembre 2013
Ne confondons pas date limite de consommation (DLC) et date limite d'utilisation optimale (DLUO)
J’avais
annoncé dans mon article précédent que je ferai un article sur ces mentions DLC
et DLUO sur les aliments ; et bien voici, chose promise chose due !
La FAO à bien
trouvé que la confusion entre la DLC et la DLUO est facteur contribuant au
gaspillage alimentaire ; je vais vous expliquer comment cela se produit.
D’abord il
faut savoir que
jeudi 12 septembre 2013
Le gaspillage alimentaire est nuisible à notre santé
Les
expressions « gaspillage alimentaire » ou « aliments
gaspillés » sont d’utilisation récurrente depuis maintenant quelques
années, par les organismes en charge de la protection de l’environnement et de
l’alimentation, tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation
et l’Agriculture (FAO) et
lundi 9 septembre 2013
La journée internationale de l’alphabétisation
La journée internationale de
l’alphabétisation est célébrée le 08 septembre de chaque année. Le thème de
cette année est : « alphabétisation pour le 21è siècle »
Il est très bien de célébrer
l’alphabétisation ; elle est la clé du développement car elle
vendredi 6 septembre 2013
L’argent ne peut aucunement vous acheter la santé comme il vous achète l’amour
Je sais que le
débat est historique sur la question « l’argent fait-il le bonheur ? »
A mon avis, basé sur quelques faits observables, l’argent ne peut pas faire le
bonheur. A ce titre, je voudrais que l’on ne confonde pas le bonheur à quelques
plaisirs et éphémères et l’amour que nos moyens financiers et matériels nous
permettent de nous offrir à volonté. Ce bonheur éphémère est vite perturbable
par le moindre problème de santé, encore plus par la mort malgré nos moyens. Ceci,
à dire que la santé ne s’achète pas ou n’a pas de prix. Quand il n’y a pas la
santé rien ne va. Nous savons bien, combien sont ces personnes aussi richissimes,
devant l’incapacité de leurs bien, vivent avec des maladies chroniques ou en
attente de transplantation d’organes ; ce fait me fait souvent rire quand
j’y pense. Ceci n’est qu’à un niveau
individuel.
On peut
remarquer aujourd’hui de nombreux pays parmi les plus riches, mais dont les
problèmes de santé sont sans solutions. Le cas du Quatar est un exemple
palpable ; ce pays est le plus riche au monde, le revenu par habitant y est
le plus élevé au monde, mais il a également
aujourd’hui, les taux de diabète et d’obésité très élevés. En effet, 17 % de la population au Quatar souffrent de diabète contre 8,3% aux
Etats-Unis. L’obésité y est aussi de loin plus fréquente qu’aux Etats-Unis
considérés comme le centre de la pandémie de l’obésité. C’est vrai que des
facteurs génétiques jouent dans la survenue de ces maladies, mais nos
comportements ont aussi un rôle très important. Dans le cas du Quatar, il est
démontré que les facteurs génétiques ne peuvent changer naturellement en si peu
de temps, car la situation n’était pas ainsi il y a dix (10) ou vingt (20) ans.
Il faut alors incriminer les changements
dans l’environnement et dans la culture alimentaire et le comportement physique.
C’est un paradoxe d’être si riche et encore trimbaler beaucoup de maladies
La question
que je me pose et à tous est : pourquoi n’avons-nous pas la sagesse de
penser à notre santé quand bien même nous en avons tous les moyens ? Peut-être
que nous sommes aveugler par notre envie de protéger nos biens matériels et
financiers, notre richesse, c’est bien, mais nous ne nous rendons- pas compte
que la santé quand nous l’avons, est notre plus grande richesse. C’est elle que
nous devrions préserver par nos efforts quotidiens ; on ne se rend compte de
sa valeur qu’une fois que nous l’avons perdue.
La santé ne se
cherche pas, elle se préserve ; n’attendons pas de la perdre pour ensuite
la chercher. Elle se préserve par nos comportements. Alors, n’hésitons pas à
aller consulter des personnes ressources pour savoir comment mieux se comporter
afin de préserver notre santé !
Par Julien DEMBELE, Msc.
Toxicologie Environnementale, Technologie Alimentaire et Nutrition
vendredi 30 août 2013
« La saleté ne tue pas l’homme noir », aimons-nous dire souvent
Il n’est pas rare que
dans certaines situations que des gens utilisent l’expression « La saleté ne tue par l’homme noir » (en langue Bambana
on dit : « nogo te farafin
faga », pour justifier la
consommation d’aliments malsains. Cela
C’est des situations
comme par exemple : à une occasion de simple dégustation, on engage sans
laver les mains parce que « la saleté ne tue l’homme noir » ou parce
ce n’est qu’une seule poignée, ou encore le cas où en pleine cuisine, la
cuillère que l’on est entrain d’utiliser tombe à terre ; on la récupère
promptement pour remettre dans le processus sans se soucier de bien la nettoyer
avant, ou encore le cas où le morceau de gâteau ou de viande le plus délicieux
que l’on s’apprête à amener à la bouche s’échappe de notre main et se retrouve
à terre, par réflexe, on le ramasse et on s’évertuer de le nettoyer un peu puis
c’est OK !
Ce n’est pas du tout
vrai, la saleté peut tuer tout le monde. Nous ignorons le nombre de substances
toxiques ou de micro-organismes nuisibles à notre santé, dont ces actes
occasionnent l’accès à notre corps. Il faut savoir que les effets négatifs de certaines
saletés sur notre organisme s’additionnent.
Il y a certaines
occasions où nous sommes exposés à des substances nuisibles sans le savoir, ou
bien que nous ne pouvons éviter, mais celles où que nous pouvons éviter, de
grâce faisons tout pour les éviter. Sachons que ce sont ces substances qui
agressent notre corps et le poussent à vieillir vite et chaque fois que nous
que nous avons été exposé, notre espérance de vie diminue.
N’a-t-on jamais
rencontré un ami de longue date et de trouver qu’il n’a pas beaucoup vieilli ? Demandons-lui
comment il fait. Peut-être il nous répondra qu’il prend soin de tout ce qui
entre dans son alimentation ; il est possible aussi qu’il nous réponde
qu’il ne sait pas. Ce qui est sûre, c’est qu’il a été moins exposé à des
produits nuisibles à sa santé. Tout un tas de facteurs entre en compte, mais
l’alimentation saine en fait partie.
L’exposition de notre
corps à des substances nuisibles ne se fait pas seulement à travers notre
alimentation, mais nous devons nous dire ceci : si c’est à travers mon alimentation que la maladie ou la mort va
m’abattre, c’est que je ne mourrai point.
Par Julien DEMBELE,
Msc. Toxicologie Environnementale, Nutrition, Technologie alimentaire
jeudi 29 août 2013
mercredi 28 août 2013
"I have a dream" Planter des arbres est une bonne solution
En
ce jour 50ème anniversaire de
la célèbre et valeureuse phrase de Martin Luter King « I have a dream » ; hommage à lui, moi aussi «I have
a dream », c’est-à-dire que moi aussi j’ai eu un rêve.
J’ai
eu ce rêve que, tous sur la terre, nous avons compris que notre environnement
est menacé, et par conséquence nos vies aussi. J’ai eu ce rêve où, nous avons
compris que nos vies sont menacées parce qu’il y a le réchauffement climatique,
la déforestation qui persiste, il y a ces tas de polluants dans l’environnement
et dans l’atmosphère. J’ai ce rêve où nous avons compris que planter des arbres
est une des solutions pour arrêter la menace.
Cet
t’acte de planter un arbre, certains le posent dans un but politique. Ce n’est pas
dans ce sens qu’il faudrait valoriser son acte ; l’acte d’accompagner le
ministre ressortissant de la province, ou le député de la région, ou le maire
de la commune, etc. à une séance de reboisement, ne doit pas cacher la raison
véritable pour laquelle nous avons mis un plant en terre. C’est ce qui se vie en
cette période d’hivernage dans certains pays africains. Il suffit de s’assoir
devant son petit écran à l’heure du journal ou bien d’ouvrir sa page des médias
internet pour le vérifier, car les dites cérémonies ont des couvertures
médiatiques à la hauteur des personnalités. Sinon que, je peux trouver mon
jeune plant et aller le mettre en terre, tout seul sans des camera tout au
tour. Bien sûr que l’initiative des
autorités est exemplaire, et d’ailleurs un devoir pour eux en tant que leader
d’opinion.
En
réalité, ce pourquoi nous plantons les arbres s’explique dans les lignes qui
suivent. Il y a que végétation, polluants atmosphériques et réchauffement
climatiques sont inter-liés.
Les
polluants atmosphériques sont représentés par des gaz, de particules en
suspension, les radiations ionisantes et le bruit. Les gaz sont représentés par
les formes oxydées et réduites du carbone (CO2, CO, CH4),
de l’azote (NO2, N2, N2O4, NH3,
NH4+), des vapeurs de SO2, O3, C6H6,
du Hg, etc. Les particules en suspension sont les PM10, les PM2,5, les métaux
lourds toxiques (Pb, Ni, Cd, As), les composés aromatiques polycycliques, etc.
Les
polluants atmosphériques on un impact négatif sur les plantes ; ils
peuvent avoir un effet toxique direct ou indirect en changeant le pH du sol,
suivi d’une solubilisation des sels de métaux toxiques comme l’aluminium. Les
particules de matière (PM) ont un effet mécanique. Elles couvrent les feuilles
des arbres et entrainent ainsi une pénétration de la lumière et en bloquant l’ouverture
des stomates (orifices par lesquels les plantes réalisent les échanges de gaz
avec le milieu extérieur). Cet obstacle influence fortement le processus de la
photosynthèse qui diminue brusquement.
La
végétation joue un important rôle positif dans la purification de l’atmosphère
et la réduction des polluants de l’air.
Les
premiers producteurs représentés par les plantes sont un maillon important du
cycle biogéochimique. La végétation fait des échanges avec une partie des gaz
de l’atmosphère à travers la photosynthèse et le processus de respiration.
Les
plantes jouent un rôle important dans la réduction du CO2 atmosphérique
par la photosynthèse. Cette réduction du CO2 participe à la réduction des gaz à effet de
serre et de leurs effets sur le
changement climatique, car le CO2 ou gaz carbonique est un des
principaux gaz à effet de serre. Le carbone stocké dans les plantes est le
résultat de la balance entre le carbone fixé par photosynthèse et le carbone rejeté
dans l’atmosphère par la respiration. Dans ce contexte, si la structure de la
végétation est complexe, le stock de la carbone dans la biomasse végétale sera
important et la duré de stockage sera longue. Quand nous comprenons cela, planter
ne devient-il pas un reflexe ?
Les
arbres sont également plantés pour réduire l’intensité des radiations
ionisantes et du bruit dans différentes zones urbaines ou industrielles. L’existence
de la végétation dans une zone crée un microclimat où la différence de
température entre le jour est régulée. Ceci prévient la survenue de températures chaudes qui
stimulent la production de polluants volatiles dans l’atmosphère.
Ne
nous lassons donc pas de planter et de planter encore !
Je
trouve ce rêve bien beau ; faisons-le se réaliser !
Par Julien DEMBELE M.sc Environmental Toxicology-Food
Technology-Nutrition
mardi 27 août 2013
Danger des armes chimiques utilisées lors des guerres et conflits
L’utilisation d’armes chimiques lors des guerres et
conflits remonte à 20 siècles avant notre ère, affirme le Professeur Roger
GODEMENT de l’Université Paris 7 dans un exposé développé au Colloque
« Vers l’abolition des armes chimiques », paris, 6 janvier 1989. Leur utilisation à grande échelle date des deux guerres mondiales a été indispensable à la victoire de
certains pays.
La convention sur
l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de
l'emploi des armes chimiques et sur leur
destruction de l’Organisation
pour l’Interdiction des Armes Chimiques
(OIAC) dans son article 2 : Définitions et critères, définit les armes
chimiques en ces termes :
On entend par "armes chimiques" les
éléments ci-après, pris ensemble ou séparément :
a. Les
produits chimiques toxiques et leurs précurseurs, à l'exception de ceux qui sont
destinés à des fins non interdites par la présente Convention, aussi longtemps
que les types et quantités en jeu sont compatibles avec de telles fins;
b. Les munitions et dispositifs spécifiquement
conçus pour provoquer la mort ou d'autres dommages par l'action toxique des
produits chimiques toxiques définis à l'alinéa a), qui seraient libérés du fait
de l'emploi de ces munitions et dispositifs;
c. Tout matériel spécifiquement conçu pour être
utilisé en liaison directe avec l'emploi des munitions et dispositifs définis à
l'alinéa b).
Aujourd’hui, ces armes chimiques, aussi appelées
« armes à destruction massive » (on se rappelle les raisons avancées
par les Etats-Unis pour envahir l’Iraq de Sadam Oussein) sont classées en deux
catégories. Les agents chimiques (agents létaux, agents incapacitants, agents
neutralisants et agents phytotoxiques) et les agents biologiques (Infections
virales, infections rickettsies, infections bactériennes et infection
fongiques) selon la classification de l’OMS 1970.
Ceci dit, officiellement, l’utilisation de ces armes
chimiques est légalement régie.
Ce que nous vivons aujourd’hui, c’est, malgré la
règlementation, l’utilisation de ces armes dans certaines contrées, telle le
cas de la SYRIE ; peu importe l’auteur (Etat Syrien ou rebelles syriens).
Des experts
sont actuellement entrain de découvrir davantage la nature et les auteurs.
Ce qu’il faut savoir, comme le nom l’indique (armes
à destruction massive), les effets toxiques sont gravissimes pour la santé. Et,
c’est l’objectif que visent les utilisateurs. Par exemples, du point de vue
militaire, les agents chimiques ont été mis au point à trois
fins tactiques :
1. les
« agents létaux » sont utilisés pour tuer l’ennemi ou le blesser si
grièvement qu’il doit être évacué et recevoir des soins médicaux ;
2. les « agents incapacitants » visent à
mettre l’ennemi complètement hors de combat pendant plusieurs heures ou
plusieurs jours, l’incapacité étant toutefois réversible sans intervention
médicale ;
3. les « agents neutralisants » ont pour
objet de rendre l’ennemi inapte au combat pendant toute la durée de
l’exposition.
Hormis l’objectif visé en de telle situation, ces
armes peuvent provoquer de dégâts
incontrôlés et avoir des impacts sur la population environnante et sur l’environnement, car ce sont substances
le plus souvent sous forme de gaz, et constituées de composés chimiques très
sables résistant à la dégradation dans l’environnement.
Références consultées :
OMS, 1970. Santé publiques et armes chimiques et
biologiques. Rapport du groupe de consultants de l’OMS. 141p.
Coté François et Smith Geneviève, 2002. Le
terrorisme chimique. Division des sciences et de la technologie, Gouvernement
du Canada. 7p.
Godement Roger, 1989. Les origines des armes
chimiques. Exposé développé au Colloque « Vers l’abolition des armes
chimiques », organisé par le
Collectif de Scientifiques pour le Désarmement Nucléaire et l’Association des Médecins Français pour la
Prévention de la Guerre Nucléaire, paris, 6 janvier 1989. 29p.
Par Julien DEMBELE, M.sc Environmental Toxicology-Food
Technology-Nutrition
"Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit dans ta nourriture" Hippocrate
"Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit dans ta nourriture" Hippocrate
Cette célèbre phrase de Hippocrate, des siècles avant Jésus Christ, est encore à jour et reste valable pour nous aujourd'hui. En effet, en dehors de l'environnement, la nourriture est la principale source de nos maladies. Que ce soit, en terme de maladies causées par des agents biologiques, de maladies causées par des agents chimiques (toxiques) et même des maladies causées par les nutriments intrinsèques de nos aliments. Ceci dit, les aliments (ou la nourriture) sont source de vie, mais ils peuvent aussi compromettre la vie. Nous devons donc bien les choisir.
Julien DEMBELE, Msc. Environmental Toxicology-Food Technology-Nutrition
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