Soyez la bienvenue sur le blog de Julien DEMBELE

Are you ready to change the way you live?


"Humanity already possess the fundamental scientific, technical, and industrial know-how to solve the carbon and climate problems..."
Stephen Pacala and Robert Socolow

mardi 31 décembre 2013

Les fêtes de fin d’année, l’alcool et le risque d’intoxication mortelle

Si les festivités de fin d’année sont l’un des moments les plus importants et émouvants de l’année, elles peuvent aussi constituées des moments désagréables quant au dénouement, au pire elles peuvent nous confronter à

mardi 19 novembre 2013

Le rechauffement climatique

                                 Photo du Globe Terrestre (Extrait du film "An Inconvenient Truth")
J'aime bien cette photo du Globe terrestre prise par la Mission Apollo 17 le 11 décembre 1972 ; je l'aime bien, non seulement parce qu'elle serait la seule photo populaire (prise pendant que

mercredi 9 octobre 2013

Quand la fiabilité des rapports des experts des institutions de l’ONU est sujette à des doutes

L’ONU (Organisation des Nations Unies) est la grande institution démocratique qui existe au monde, agissant dans l’impartialité même si l’on sait que le social a un poids important dans les décisions qui émanent d’elle. La crédibilité de cette institution est entrain de s’effriter à découvert  ces dernier temps, au vue des

mardi 8 octobre 2013

Julien bientôt sur mondoblog.fr de rfi

C'est avec immense plaisir que je vous annonce ma sélection au concours mondoblog de rfi 2013 ! Vous pourrez lire bientôt mes articles sur mon site mondoblog.fr !

vendredi 4 octobre 2013

Affaire "Boissons énergisantes" ou "energy drink"

Les boissons énergisantes ont longtemps suscité de l’interrogation quant à l’inoffensivité de leur constituant sur la santé. Le problème refait plus surface avec les récents évènements en France où ces boissons seraient à l’origine de

jeudi 19 septembre 2013

La grippe aviaire dans la viande de volaille : Alerte 2013 FAO pour une nouvelle saison

On se rappelle les dégâts et le trouble causé par l’épidémie de la grippe aviaire dans nos sociétés ces dernières années.  Moi je me souviens bien de ce qui c’était passé dans mon pays (Burkina Faso) en

mercredi 18 septembre 2013

Les sachets plastiques et notre vie

Nous assistons ces dix dernières années dans le monde, à des vagues de tractations houleuses entre gouvernements, industriels et consommateurs sur l’éradication des sachets ou sacs plastiques de notre environnement. Parmi la quinzaine de pays

lundi 16 septembre 2013

Ne confondons pas date limite de consommation (DLC) et date limite d'utilisation optimale (DLUO)

J’avais annoncé dans mon article précédent que je ferai un article sur ces mentions DLC et DLUO sur les aliments ; et bien voici, chose promise chose due !
La FAO à bien trouvé que la confusion entre la DLC et la DLUO est facteur contribuant au gaspillage alimentaire ; je vais vous expliquer comment cela se produit.
D’abord il faut savoir que

jeudi 12 septembre 2013

Le gaspillage alimentaire est nuisible à notre santé

Les expressions « gaspillage alimentaire » ou « aliments gaspillés » sont d’utilisation récurrente depuis maintenant quelques années, par les organismes en charge de la protection de l’environnement et de l’alimentation, tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO)  et

lundi 9 septembre 2013

La journée internationale de l’alphabétisation

La journée internationale de l’alphabétisation est célébrée le 08 septembre de chaque année. Le thème de cette année est : « alphabétisation pour le 21è siècle »
Il est très bien de célébrer l’alphabétisation ; elle est la clé du développement car elle

vendredi 6 septembre 2013

L’argent ne peut aucunement vous acheter la santé comme il vous achète l’amour

Je sais que le débat est historique sur la question « l’argent fait-il le bonheur ? » A mon avis, basé sur quelques faits observables, l’argent ne peut pas faire le bonheur. A ce titre, je voudrais que l’on ne confonde pas le bonheur à quelques plaisirs et éphémères et l’amour que nos moyens financiers et matériels nous permettent de nous offrir à volonté. Ce bonheur éphémère est vite perturbable par le moindre problème de santé, encore plus par la mort malgré nos moyens. Ceci, à dire que la santé ne s’achète pas ou n’a pas de prix. Quand il n’y a pas la santé rien ne va. Nous savons bien, combien sont ces personnes aussi richissimes, devant l’incapacité de leurs bien, vivent avec des maladies chroniques ou en attente de transplantation d’organes ; ce fait me fait souvent rire quand j’y pense.  Ceci n’est qu’à un niveau individuel.
On peut remarquer aujourd’hui de nombreux pays parmi les plus riches, mais dont les problèmes de santé sont sans solutions. Le cas du Quatar est un exemple palpable ; ce pays est le plus riche au monde, le revenu par habitant y est le plus élevé au monde, mais il a également  aujourd’hui, les taux de diabète et d’obésité très élevés. En effet, 17 % de la population au Quatar souffrent de diabète contre 8,3% aux Etats-Unis. L’obésité y est aussi de loin plus fréquente qu’aux Etats-Unis considérés comme le centre de la pandémie de l’obésité. C’est vrai que des facteurs génétiques jouent dans la survenue de ces maladies, mais nos comportements ont aussi un rôle très important. Dans le cas du Quatar, il est démontré que les facteurs génétiques ne peuvent changer naturellement en si peu de temps, car la situation n’était pas ainsi il y a dix (10) ou vingt (20) ans. Il faut alors incriminer  les changements dans l’environnement et dans la culture alimentaire et le comportement physique. C’est un paradoxe d’être si riche et encore trimbaler beaucoup de maladies
La question que je me pose et à tous est : pourquoi n’avons-nous pas la sagesse de penser à notre santé quand bien même nous en avons tous les moyens ? Peut-être que nous sommes aveugler par notre envie de protéger nos biens matériels et financiers, notre richesse, c’est bien, mais nous ne nous rendons- pas compte que la santé quand nous l’avons, est notre plus grande richesse. C’est elle que nous devrions préserver par nos efforts quotidiens ; on ne se rend compte de sa valeur qu’une fois que nous l’avons perdue.
La santé ne se cherche pas, elle se préserve ; n’attendons pas de la perdre pour ensuite la chercher. Elle se préserve par nos comportements. Alors, n’hésitons pas à aller consulter des personnes ressources pour savoir comment mieux se comporter afin de préserver notre santé !

Par Julien DEMBELE, Msc. Toxicologie Environnementale, Technologie Alimentaire et Nutrition

vendredi 30 août 2013

« La saleté ne tue pas l’homme noir », aimons-nous dire souvent

Il n’est pas rare que dans certaines situations que des gens utilisent  l’expression « La saleté ne tue par l’homme noir » (en langue Bambana on dit : « nogo te farafin faga »,  pour justifier la consommation d’aliments malsains. Cela
C’est des situations comme par exemple : à une occasion de simple dégustation, on engage sans laver les mains parce que « la saleté ne tue l’homme noir » ou parce ce n’est qu’une seule poignée, ou encore le cas où en pleine cuisine, la cuillère que l’on est entrain d’utiliser tombe à terre ; on la récupère promptement pour remettre dans le processus sans se soucier de bien la nettoyer avant, ou encore le cas où le morceau de gâteau ou de viande le plus délicieux que l’on s’apprête à amener à la bouche s’échappe de notre main et se retrouve à terre, par réflexe, on le ramasse et on s’évertuer de le nettoyer un peu puis c’est OK !
Ce n’est pas du tout vrai, la saleté peut tuer tout le monde. Nous ignorons le nombre de substances toxiques ou de micro-organismes nuisibles à notre santé, dont ces actes occasionnent l’accès à notre corps. Il faut savoir que les effets négatifs de certaines saletés sur notre organisme s’additionnent.
Il y a certaines occasions où nous sommes exposés à des substances nuisibles sans le savoir, ou bien que nous ne pouvons éviter, mais celles où que nous pouvons éviter, de grâce faisons tout pour les éviter. Sachons que ce sont ces substances qui agressent notre corps et le poussent à vieillir vite et chaque fois que nous que nous avons été exposé, notre espérance de vie diminue.
N’a-t-on jamais rencontré un ami de longue date et de trouver qu’il n’a pas beaucoup vieilli ? Demandons-lui comment il fait. Peut-être il nous répondra qu’il prend soin de tout ce qui entre dans son alimentation ; il est possible aussi qu’il nous réponde qu’il ne sait pas. Ce qui est sûre, c’est qu’il a été moins exposé à des produits nuisibles à sa santé. Tout un tas de facteurs entre en compte, mais l’alimentation saine en fait partie.
L’exposition de notre corps à des substances nuisibles ne se fait pas seulement à travers notre alimentation, mais nous devons nous dire ceci : si c’est à travers mon alimentation que la maladie ou la mort va m’abattre, c’est que je ne mourrai point.

Par Julien DEMBELE, Msc. Toxicologie Environnementale, Nutrition, Technologie alimentaire

mercredi 28 août 2013

"I have a dream" Planter des arbres est une bonne solution

En ce jour 50ème anniversaire  de la célèbre et valeureuse phrase de Martin Luter King « I have a dream » ; hommage à lui, moi aussi «I have a dream », c’est-à-dire que moi aussi j’ai eu un rêve.
J’ai eu ce rêve que, tous sur la terre, nous avons compris que notre environnement est menacé, et par conséquence nos vies aussi. J’ai eu ce rêve où, nous avons compris que nos vies sont menacées parce qu’il y a le réchauffement climatique, la déforestation qui persiste, il y a ces tas de polluants dans l’environnement et dans l’atmosphère. J’ai ce rêve où nous avons compris que planter des arbres est une des solutions pour arrêter la menace.
Cet t’acte de planter un arbre, certains le posent dans un but politique. Ce n’est pas dans ce sens qu’il faudrait valoriser son acte ; l’acte d’accompagner le ministre ressortissant de la province, ou le député de la région, ou le maire de la commune, etc. à une séance de reboisement, ne doit pas cacher la raison véritable pour laquelle nous avons mis un plant en terre. C’est ce qui se vie en cette période d’hivernage dans certains pays africains. Il suffit de s’assoir devant son petit écran à l’heure du journal ou bien d’ouvrir sa page des médias internet pour le vérifier, car les dites cérémonies ont des couvertures médiatiques à la hauteur des personnalités. Sinon que, je peux trouver mon jeune plant et aller le mettre en terre, tout seul sans des camera tout au tour.  Bien sûr que l’initiative des autorités est exemplaire, et d’ailleurs un devoir pour eux en tant que leader d’opinion.
En réalité, ce pourquoi nous plantons les arbres s’explique dans les lignes qui suivent. Il y a que végétation, polluants atmosphériques et réchauffement climatiques sont inter-liés.
Les polluants atmosphériques sont représentés par des gaz, de particules en suspension, les radiations ionisantes et le bruit. Les gaz sont représentés par les formes oxydées et réduites du carbone (CO2, CO, CH4), de l’azote (NO2, N2, N2O4, NH3, NH4+), des vapeurs de SO2, O3, C6H6, du Hg, etc. Les particules en suspension sont les PM10, les PM2,5, les métaux lourds toxiques (Pb, Ni, Cd, As), les composés aromatiques polycycliques, etc.
Les polluants atmosphériques on un impact négatif sur les plantes ; ils peuvent avoir un effet toxique direct ou indirect en changeant le pH du sol, suivi d’une solubilisation des sels de métaux toxiques comme l’aluminium. Les particules de matière (PM) ont un effet mécanique. Elles couvrent les feuilles des arbres et entrainent ainsi une pénétration de la lumière et en bloquant l’ouverture des stomates (orifices par lesquels les plantes réalisent les échanges de gaz avec le milieu extérieur). Cet obstacle influence fortement le processus de la photosynthèse qui diminue brusquement.
La végétation joue un important rôle positif dans la purification de l’atmosphère et la réduction des polluants de l’air.
Les premiers producteurs représentés par les plantes sont un maillon important du cycle biogéochimique. La végétation fait des échanges avec une partie des gaz de l’atmosphère à travers la photosynthèse et le processus de respiration.
Les plantes jouent un rôle important dans la réduction du CO2 atmosphérique par la photosynthèse. Cette réduction du CO2  participe à la réduction des gaz à effet de serre  et de leurs effets sur le changement climatique, car le CO2 ou gaz carbonique est un des principaux gaz à effet de serre. Le carbone stocké dans les plantes est le résultat de la balance entre le carbone fixé par photosynthèse et le carbone rejeté dans l’atmosphère par la respiration. Dans ce contexte, si la structure de la végétation est complexe, le stock de la carbone dans la biomasse végétale sera important et la duré de stockage sera longue. Quand nous comprenons cela, planter ne devient-il pas un reflexe ? 
Les arbres sont également plantés pour réduire l’intensité des radiations ionisantes et du bruit dans différentes zones urbaines ou industrielles. L’existence de la végétation dans une zone crée un microclimat où la différence de température entre le jour est régulée. Ceci prévient  la survenue de températures chaudes qui stimulent la production de polluants volatiles dans l’atmosphère.
Ne nous lassons donc pas de planter et de planter encore !
Je trouve ce rêve bien beau ; faisons-le se réaliser !
Par Julien DEMBELE M.sc Environmental Toxicology-Food Technology-Nutrition


mardi 27 août 2013

Danger des armes chimiques utilisées lors des guerres et conflits

L’utilisation d’armes chimiques lors des guerres et conflits remonte à 20 siècles avant notre ère, affirme le Professeur Roger GODEMENT de l’Université Paris 7 dans un exposé développé au Colloque  « Vers l’abolition des armes chimiques », paris, 6 janvier 1989.  Leur utilisation à grande échelle date  des deux guerres  mondiales a été indispensable à la victoire de certains pays.
La convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques  et sur leur destruction de l’Organisation pour l’Interdiction  des Armes Chimiques (OIAC) dans son article 2 : Définitions et critères, définit les armes chimiques en ces termes :
On entend par "armes chimiques" les éléments ci-après, pris ensemble ou séparément :
 a. Les produits chimiques toxiques et leurs précurseurs, à l'exception de ceux qui sont destinés à des fins non interdites par la présente Convention, aussi longtemps que les types et quantités en jeu sont compatibles avec de telles fins;
b. Les munitions et dispositifs spécifiquement conçus pour provoquer la mort ou d'autres dommages par l'action toxique des produits chimiques toxiques définis à l'alinéa a), qui seraient libérés du fait de l'emploi de ces munitions et dispositifs;
c. Tout matériel spécifiquement conçu pour être utilisé en liaison directe avec l'emploi des munitions et dispositifs définis à l'alinéa b).
Aujourd’hui, ces armes chimiques, aussi appelées « armes à destruction massive » (on se rappelle les raisons avancées par les Etats-Unis pour envahir l’Iraq de Sadam Oussein) sont classées en deux catégories. Les agents chimiques (agents létaux, agents incapacitants, agents neutralisants et agents phytotoxiques) et les agents biologiques (Infections virales, infections rickettsies, infections bactériennes et infection fongiques) selon la classification de l’OMS 1970.
Ceci dit, officiellement, l’utilisation de ces armes chimiques est légalement  régie.
Ce que nous vivons aujourd’hui, c’est, malgré la règlementation, l’utilisation de ces armes dans certaines contrées, telle le cas de la SYRIE ; peu importe l’auteur (Etat Syrien ou rebelles syriens).
 Des experts sont actuellement entrain de découvrir davantage la nature et les auteurs.
Ce qu’il faut savoir, comme le nom l’indique (armes à destruction massive), les effets toxiques sont gravissimes pour la santé. Et, c’est l’objectif que visent les utilisateurs. Par exemples, du point de vue militaire, les agents chimiques ont été mis au point à trois fins tactiques :
1.  les « agents létaux » sont utilisés pour tuer l’ennemi ou le blesser si grièvement qu’il doit être évacué et recevoir des soins médicaux ;
2. les « agents incapacitants » visent à mettre l’ennemi complètement hors de combat pendant plusieurs heures ou plusieurs jours, l’incapacité étant toutefois réversible sans intervention médicale ;
3. les « agents neutralisants » ont pour objet de rendre l’ennemi inapte au combat pendant toute la durée de l’exposition.
Hormis l’objectif visé en de telle situation, ces armes peuvent  provoquer de dégâts incontrôlés et avoir des impacts sur la population environnante et  sur l’environnement, car ce sont substances le plus souvent sous forme de gaz, et constituées de composés chimiques très sables résistant à la dégradation dans l’environnement.

Références consultées :
OMS, 1970. Santé publiques et armes chimiques et biologiques. Rapport du groupe de consultants de l’OMS. 141p.
Coté François et Smith Geneviève, 2002. Le terrorisme chimique. Division des sciences et de la technologie, Gouvernement du Canada. 7p.
Godement Roger, 1989. Les origines des armes chimiques. Exposé développé au Colloque  « Vers l’abolition des armes chimiques », organisé par le Collectif de Scientifiques pour le Désarmement Nucléaire et l’Association des Médecins Français pour la Prévention de la Guerre Nucléaire, paris, 6 janvier 1989. 29p.


Par Julien DEMBELE, M.sc Environmental Toxicology-Food Technology-Nutrition

Julien DEMBELE


                                                                 

"Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit dans ta nourriture" Hippocrate

"Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit dans ta nourriture" Hippocrate

Cette célèbre phrase de Hippocrate, des siècles avant Jésus Christ, est encore à jour et reste valable pour nous aujourd'hui. En effet, en dehors de l'environnement, la nourriture est la principale source de nos maladies. Que ce soit, en terme de maladies causées par des agents biologiques,  de maladies causées par des agents chimiques (toxiques) et même des maladies causées par les nutriments intrinsèques de nos aliments. Ceci dit, les aliments (ou la nourriture) sont source de vie, mais ils peuvent aussi compromettre la vie. Nous devons donc bien les choisir.  

Julien DEMBELE, Msc. Environmental Toxicology-Food Technology-Nutrition

lundi 17 juin 2013